- Brown-out (Déclin : Professionnel, Performances, Productivité), Développement Personnel et Motivation au Travail 🚀🧠, Gestion du Temps et Productivité ⏳🚀, Optimisation des Processus et Performances au Travail 📈⚙️, Organisation et Planification des Tâches : Priorités et Délais, Outils et Technologies pour l'Efficacité au Travail 💻🛠️, Procrastination, Productivité & Organisation Personnelle 🚀🗂️, Productivité vs Multitâches, Productivité, Priorisation et Optimisation du Temps
L’effet de dilution ❌ Le saboteur silencieux de ta productivité
Pour partager
Le piège invisible qui sabote tes journées
On en parle peu, mais c’est un phénomène qui s’infiltre dans nos journées sans qu’on s’en rende compte.
Tu arrives au boulot avec les meilleures intentions : tu ouvres ton ordi, tu planifies ta journée… et BOUM. Te voilà happé par une avalanche de sollicitations, d’imprévus et de micro-tâches qui grugent ton énergie, ta clarté… et ton temps.
Je le sais, parce que je l’ai vécu moi-même. Longtemps, sans même savoir que ça portait un nom.
Ce sentiment flou, cette impression de patiner sans avancer, ce brouillard mental qui s’installe peu à peu… ça s’appelle l’effet de dilution. Et crois-moi, il fait des ravages silencieux chez bien des travailleurs de bureau.
🎯 Si tu termines souvent tes journées fatigué, éparpillé, frustré de ne pas avoir touché à ce qui était vraiment important… tu n’es pas seul.
Et la bonne nouvelle ?
Il existe des solutions concrètes (et simples !) pour reprendre le contrôle, retrouver de la clarté… et sentir que ton énergie va enfin au bon endroit.
Je t’en parle juste ici ↓
🚨 Trop de sollicitations, pas assez de concentration
Aujourd’hui, le quotidien d’un employé de bureau ressemble souvent à une course contre-la-montre. À peine installé devant ton écran que la première réunion démarre, suivie d’un flot continu de courriels, de notifications Teams, de demandes de dernière minute, de tâches non planifiées qui s’ajoutent à une liste déjà trop longue… et tout ça, dans un environnement où les rôles et les priorités sont flous.
Tu réagis plus que tu ne choisis. Tu gères l’urgence au lieu de piloter l’essentiel. Bref, tu es constamment sollicité, mais rarement concentré.
- Tu réagis plus que tu ne choisis.
- Tu gères l’urgence au lieu de piloter l’essentiel.
- Bref, tu es constamment sollicité, mais rarement concentré.
Résultat ?
Tu fais tout, sauf ce que tu avais prévu. Tes priorités deviennent floues, et tu passes ta journée en mode réactif plutôt que stratégique. Tu essaies de tout faire, mais tu finis par t’éparpiller entre les urgences des autres et les interruptions constantes. Ce n’est pas que tu ne travailles pas, c’est que tu es sans cesse dévié de ta trajectoire.
Ce mode réactif constant entraîne plusieurs effets concrets :
✗ Tu t’éparpilles : Tu passes d’une réunion à une autre sans réussir à concrétiser ce que tu voulais accomplir. Tu prends des notes, tu dis oui à tout, mais tu n’as pas le temps de faire le suivi, de traiter l’information ou d’agir concrètement.
✗ Tu repousses l’important : Tu oublies des suivis, tu repousses ce qui est important : les dossiers stratégiques s’empilent pendant que tu gères le feu du jour. Et ça revient te hanter plus tard, en mode urgence.
✗ Tu changes constamment de contexte & ton attention est fragmentée : Tu passes d’un courriel à un appel, d’une réunion à une demande urgente sans jamais pouvoir t’ancrer pleinement dans une seule tâche. Ce va-et-vient brise ton rythme, t’empêche d’entrer dans un vrai état de concentration, et déconnecte ta logique de priorités.
✗ Tu avances à petits pas dans plusieurs directions en même temps : tu démarres plusieurs choses sans en terminer une seule. Et à la fin de la journée, tu vois des brouillons partout, mais rien de concret coché. Résultat : frustration et charge mentale.
✗ Ton cerveau carbure à la dérivation constante : il est sollicité sans pause, toujours en alerte. Tu n’as pas de place pour la profondeur, la réflexion ou l’analyse. Juste pour la réaction rapide.
Et à force de jongler avec trop de choses à la fois, ton attention se dilue, ton efficacité chute, et tu termines avec la sensation de t’être éparpillé pour… pas grand-chose.
Et tout ça, c’est lourd mentalement.
Ton cerveau est constamment en alerte, toujours en réaction. Pas d’espace pour réfléchir, approfondir, prioriser. Juste l’impression de courir sans pause, sans impact clair.
En résumé, c’est ça, la dilution : un éparpillement de ton attention, de ton énergie et de ton impact. Et ça t’empêche d’être vraiment efficace, malgré tous tes efforts.
📉 Ce que l’effet de dilution te coûte vraiment
On parle ici d’un véritable grugeur de productivité : pas celui qui saute aux yeux, mais celui qui s’infiltre insidieusement dans ton quotidien.
L’effet de dilution ne fait pas de bruit, mais il agit en arrière-plan, chaque jour, sans que tu t’en rendes compte. Il fragmente ton attention, fragilise ton rythme, et gruge ton temps utile.
Tu ne le vois pas toujours, mais tu le ressens : en fin de journée, quand tu constates que tu n’as pas avancé sur ce qui compte réellement, alors que tu n’as pourtant pas arrêté une seconde.
⏳ Chaque interruption te fait perdre jusqu’à 20 minutes de recentrage.
😣 Ton stress monte, ton attention chute.
📉 La qualité de ton travail diminue.
😵💫 Tu finis par te sentir débordé, même si tu n’as pas arrêté de la journée.
Et petit à petit, tu en viens à croire que ce rythme-là, ce brouhaha constant… c’est ça, le vrai travail. Que courir partout, répondre à tout le monde, être en réunion non-stop et gérer l’urgence, c’est normal.
✗ Mais non. Ce n’est pas normal. Ce n’est pas efficace. Ce n’est pas durable.
Ce n’est pas de ta faute. Ce sont les mécaniques qu’on laisse s’installer — par habitude, par pression, ou par manque d’outils.
Mais on peut changer ça. On peut la remettre en question. On peut la rééquilibrer. Parce que non, tu ne devrais pas avoir à t’épuiser pour être utile.
💡 On peut faire mieux. Sans s'épuiser.
La dilution n’est pas une fatalité. Elle peut être identifiée, comprise… et réduite.
Il ne s’agit pas de tout révolutionner du jour au lendemain. L’objectif n’est pas de te rajouter une couche de choses à faire… On en a déjà tous trop. Et surtout, je ne vais pas te proposer un modèle rigide ou parfait (spoiler : il n’existe pas).
En revanche, mon objectif est de t’aider à reprendre les commandes, une décision à la fois. De protéger ton attention, de clarifier tes priorités, et de construire un rythme de travail plus intentionnel, plus humain.
🕬 Tu mérites un quotidien de travail dans lequel tu sens que ton énergie sert réellement à avancer, et non juste à survivre.
🗓️ Planifier sans rigidité
Ce que j'aurais dû faire dès le départ ?
Me donner le droit de ne pas remplir ma journée à bloc. J’avais tendance à planifier chaque minute, pensant que c’était ça, être efficace.
En réalité, ça m’étouffait. J’ai appris à créer de la marge, à prévoir des zones de réajustement. Et honnêtement, c’est ce qui a changé la donne pour moi.
💡 La clé ? Créer de l’espace… pour mieux avancer
Plutôt que de remplir ton agenda comme un Tetris sans fin (tu sais, le genre de journée où tu n’as même plus le temps de respirer), essaie d’abord de créer de la marge.
Voici quelques astuces, testées et approuvées dans mon propre quotidien :
Crée des blocs souples
Le matin, je me garde toujours un bloc de 60 à 90 minutes pour avancer sur une tâche-clé.
Pas de réunion. Pas de courriel. Juste du temps concentré.
Et si je déborde un peu ou si l’heure change, ce n’est pas grave. Ce n’est pas figé, c’est protégé.
Nommer l'intention du bloc
Par exemple, j’inscris “bloc création contenu” ou “suivis clients”. Juste de l’avoir nommé m’aide à m’y engager pour vrai, sans m’éparpiller.
Pour un salarié en administration, ça peut être “préparer la réunion de 14 h”, “faire le suivi des factures clients” ou “traiter les courriels prioritaires du matin”.
Plus l’intention est claire, plus tu évites de partir dans tous les sens.
Accepte l'imprévu, sans l'accueillir en roi
Si quelqu’un me propose une réunion dans cette plage, je vérifie toujours si c’est plus important que ce que j’avais prévu. Si ce n’est pas le cas, je propose un autre moment.
Ajoute des temps tampons
J’essaie de ne jamais coller les activités les unes après les autres.
Je laisse 15 minutes entre deux blocs pour respirer, faire une pause ou rattraper un dépassement.
L’idée, c’est de structurer ta journée avec de la souplesse. Pas pour en faire plus, mais pour avancer avec plus de clarté (et moins de stress).
🎯 Prioriser sans s'épuiser
Ce que j'aurais dû faire dès le départ ?
📌 Arrêter de croire que tout avait la même importance.
J’avais tendance à tout vouloir faire, tout de suite, en pensant que c’était la preuve que j’étais efficace. Mais à force de dire oui à tout, je disais non à ce qui comptait vraiment.
Ce que j’ai compris avec le temps, c’est que prioriser, c’est aussi se protéger.
⚠️ Reprendre le contrôle sur ce qui compte vraiment
Tout ne mérite pas ton attention en même temps. Je le sais, c’est plus facile à dire qu’à faire, surtout quand tout semble urgent. Mais justement, c’est là qu’il faut reprendre le pouvoir.
Voici ce qui fonctionne pour moi et pour plusieurs personnes que j’accompagne :
Commence par distinguer l'urgent de l'important
Ce n’est pas parce qu’on te met de la pression que c’est nécessairement prioritaire.
✔️ L’urgent crie fort, mais l’important construit.
Identifie chaque matin 1 à 3 vraies priorités
Moi, je les note dans mon ClickUp ou sur mon plan papier. Pas une liste de 12 choses. Juste 1 à 3 que je veux vraiment avoir avancé à la fin de ma journée. Et je les bloque dans mon horaire.
Valide si tu avances vraiment dessus
Je me pose souvent la question vers midi : est-ce que j’ai commencé ce qui compte ? Si la réponse est non, j’ajuste mon après-midi.
Garde ton énergie pour ce qui a de l’impact
Chaque “oui” à une tâche non essentielle, c’est potentiellement un “non” à ce qui compte pour toi.
Protège ton focus comme tu protègerais un rendez-vous important.
🕬 Prioriser, ce n’est pas cocher plus de cases. C’est t’assurer que les bonnes cases sont cochées.
Quand tu gardes ça en tête, tu reprends doucement le contrôle. Tu fais de la place à ce qui a vraiment de la valeur. Et surtout, tu avances dans la bonne direction — pas juste plus vite, mais plus juste.
⏳ Délimiter tes plages de concentration
Ce que j'aurais dû faire dès le départ ?
🏹 Ce que j’ai appris, c’est qu’une vraie concentration, même courte, vaut bien plus qu’une journée dispersée.
🔄 Miser sur des moments de vraie présence
On ne peut pas rester concentré 8 heures d’affilée. C’est tout simplement pas humain. Mais 2 à 3 vraies plages de concentration dans une journée, bien placées, peuvent changer le rythme et l’énergie de ta journée.
Parce qu’être concentré ne veut pas dire être collé à son écran toute la journée. C’est choisir des moments de qualité où tu es vraiment présent, pour faire avancer ce qui compte — sans t’épuiser, sans t’éparpiller.
Voici comment je fais, et ce que je recommande souvent :
Planifie tes plages de focus comme des rendez-vous importants
Dans mon agenda, je bloque des périodes de 45 à 60 minutes pour mes tâches prioritaires. Je les traite comme des réunions avec moi-même. Et personne n’a le droit d’y toucher (même pas moi).
Utilise une minuterie (Pomodoro ou autre)
Je ne l’utilise pas personnellement, mais je le recommande souvent aux personnes pour qui cela fonctionne bien.
Certaines trouvent qu’un minuteur de 25 ou 45 minutes les aide à rester engagées dans une seule tâche, en créant un cadre clair et une limite de temps qui soutient leur concentration.
Coupe les distractions
J’active le mode “ne pas déranger” sur Teams, je ferme les onglets inutiles, et je mets mon cellulaire loin. Ce n’est pas toujours parfait, mais à chaque fois que je le fais, j’avance deux fois plus vite (et je suis deux fois plus zen).
Certaines personnes ne peuvent pas totalement s’isoler, surtout si leur supérieur attend une réponse rapide. Pour ma part, j’ai intégré une règle : seule ma supérieure figure dans mes exceptions. Elle voit quand je suis en focus, et ne me dérange que si c’est réellement important ou urgent. Cette entente me permet de préserver ma concentration tout en restant disponible quand ça compte vraiment.
Réserve une place pour le vide
J’ai compris que pour bien me concentrer, il faut aussi que je prenne des pauses entre les blocs.
Quand je suis en mode salarié, je ne m’étends pas, mais je prends quand même quelques minutes pour m’éloigner de l’écran ou faire un petit tour.
Et quand je travaille sur mon entreprise, je me permets davantage : m’étendre quelques minutes, sortir prendre une marche de 10 minutes, respirer.
🏹 Ce n’est pas du temps perdu, c’est du carburant pour le prochain bloc.
Ces moments-là, même s’ils sont courts, me permettent d’avancer réellement. Et surtout, de sentir que je progresse pour vrai, sans me disperser.
Et c’est ça qui fait toute la différence : quelques blocs bien placés, protégés, respectés… et tu peux accomplir en 90 minutes ce que tu aurais étiré sur une journée entière en mode dispersé. Le vrai gain, il est là.
🧠 Centraliser tes infos (et ton cerveau te dira merci)
Ce que j'aurais dû faire dès le départ ?
Arrêter de croire que je pouvais tout retenir dans ma tête. Je notais ça sur des post-its, dans mes courriels, parfois même dans mes messages vocaux.
Résultat : Je perdais un temps fou à chercher ce que j’avais pourtant déjà noté quelque part. Et mentalement, c’était épuisant.
🏹 Ce que j’ai appris, c’est que centraliser, c’est se libérer.
🔍 Moins chercher, plus avancer
On sous-estime souvent à quel point le fait de chercher une info peut nous bouffer de l’énergie. Une note prise à la va-vite sur un post-it, un fichier planqué dans un mauvais dossier, une tâche oubliée sur un coin de table… et voilà ton cerveau qui patine, juste pour retrouver ce dont tu as besoin.
Voici ce que je fais pour alléger tout ça, et ce que tu peux tester toi aussi :
Choisis un seul endroit de référence
Ou du moins, réduis au maximum les points d’entrée.
Dans mon cas, j’en utilise trois : OneNote, Notion et ClickUp. Ce n’est pas ce qu’on recommande normalement (trop de points d’accès = surcharge), mais personne n’est parfait. L’important, c’est de savoir pourquoi tu les utilises et comment. Et surtout, de ne pas éparpiller une même catégorie d’information entre plusieurs endroits.
✔ Des outils efficaces, mais sans surcharge : OneNote pour vider mon cerveau rapidement. Notion pour structurer mes idées. ClickUp pour suivre mes tâches.
Évite la dispersion entre trop d’outils
Trop d’outils, c’est comme ouvrir un triangle des Bermudes numérique — tu y perds du temps, ton énergie et souvent… l’info elle-même.
J’ai moi-même testé plein de plateformes pour voir ce qui fonctionnait, et c’est correct d’explorer. Mais attention à la procrastination déguisée : tester un outil n’est pas travailler. Il y a des solutions qui regroupent tout en un, mais à chacun ses préférences. L’essentiel ? Faire simple, clair et adapté à ta réalité.
Organise par contexte ou projet
Par exemple, on peut créer une section pour les clients actifs, une autre pour les projets internes, une autre pour les suivis hebdomadaires, et une dernière pour les idées en vrac ou les réflexions à classer plus tard. L’essentiel, c’est de savoir où va chaque type d’information, pour ne pas se retrouver à la chercher dans cinq endroits différents.
Quand une idée surgit, je sais exactement où la noter. Plus besoin de la “retenir dans ma tête” jusqu’à ce que j’oublie.
Fais des revues régulières
Chaque semaine, je prends 15 minutes pour relire mes notes, compléter ce qui manque, ou transférer ce qui est devenu une tâche concrète. Ça me permet de garder mon espace mental dégagé.
Moins tu as d’endroits où chercher, plus tu restes calme, concentré et efficace. Ton cerveau n’est pas fait pour stocker, mais pour créer. Alors libère-le.
Et tu verras : quand ton cerveau n’est plus constamment sollicité à stocker des bouts d’informations éparpillées, il retrouve une fluidité. Tu gagnes en calme, en présence, en clarté. Et surtout, tu récupères une précieuse énergie mentale pour avancer sur l’essentiel.
🧩 Créer un système à ton image
Ce que j'aurais dû faire dès le départ ?
Arrêter de copier les systèmes des autres en pensant qu’ils allaient fonctionner pour moi. J’ai longtemps testé des méthodes qui avaient l’air géniales sur papier… mais qui ne me ressemblaient pas du tout. Je me sentais encore plus perdue, plus rigide, et au final, encore plus dépassée.
🏹 Ce que j’ai appris, c’est que le bon système, c’est celui qui s’adapte à toi — pas l’inverse.
🎯 Le bon système, c’est celui qui te ressemble
Ce que j’ai compris avec le temps, c’est qu’il n’y a pas une seule bonne méthode qui marche pour tout le monde. Et c’est bien correct comme ça. L’idée, c’est de te créer un écosystème de travail qui te ressemble — qui te soutient, pas qui t’épuise.
Voici comment je m’y prends, et ce que tu peux explorer :
Observe ton énergie dans la journée
Certaines personnes carburent dès 8 h, pendant que d’autres ont besoin de démarrer doucement. Personnellement, je suis clairement du matin. Mon cerveau est plus rapide, mes idées plus claires et j’avance plus facilement sur ce qui demande de la concentration ou de la créativité avant 12 h. L’après-midi, je préfère des tâches plus mécaniques ou plus légères.
Si c’est aussi ton cas, essaie de placer tes moments les plus stratégiques tôt dans ta journée. Prendre conscience de ton propre rythme, c’est la base pour adapter ton organisation — et ça fait toute la différence.
Adapte les outils à toi (et non l’inverse)
Quand on travaille dans plusieurs sphères à la fois — comme un emploi salarié, des projets personnels et une entreprise en développement — il est tentant de vouloir trouver LE bon outil universel.
✔ En réalité, il n’existe pas de solution miracle. Le bon outil, c’est celui qui soutient ton quotidien sans t’alourdir.
Si tu aimes voir visuellement ce que tu dois faire, ClickUp ou Notion peuvent vraiment t’aider à structurer tes projets.
Si tu préfères quelque chose de simple et linéaire, un bon vieux carnet papier ou Outlook peut faire amplement l’affaire. Dans mon cas, j’ai besoin d’un mélange : visuel pour certains projets, linéaire pour d’autres.
Le plus important, c’est que tu aies envie de l’utiliser — sinon, il ne servira jamais.
✔ Le bon outil, c’est celui que tu as envie d’ouvrir.
Simplifie, toujours
Un bon système n’est pas celui qui impressionne. C’est celui que tu utilises vraiment, même quand c’est imparfait.
Pour être honnête, je n’ai pas totalement arrêté de multiplier les tableaux de suivi ni les couleurs. J’aime encore trop ça 😅. Mais avec l’expérience, j’ai compris que ce n’est pas partout que ça fonctionne bien.
Il y a des contextes où trop d’informations ou de codes visuels peuvent nuire plus qu’aider. Alors j’essaie de garder l’essentiel clair, surtout dans les moments où mon cerveau est déjà trop sollicité.
Je ne suis pas parfaite, mais j’avance — un ajustement à la fois.
✔ Mon conseil ? Si tu es du genre à vouloir que tout soit visuellement parfait (comme moi), commence par un seul tableau. Un tableau hebdo simple, avec tes 3 priorités, tes suivis essentiels et un espace « à déléguer ». Résiste à l’envie de tout catégoriser au départ. Donne-toi quelques semaines pour valider si c’est utile… ou juste joli.
Revois régulièrement ce qui ne fonctionne plus
Ce qui marchait pour toi il y a 6 mois n’est peut-être plus adapté à ta réalité d’aujourd’hui.
Ce n’est pas toujours facile de trouver le temps pour faire ce genre de ménage, mais faire de son mieux est souvent la vraie clé du succès. Si une action m’agace ou me fait perdre du temps, j’essaie de l’ajuster rapidement — parfois même sur-le-champ. Une fois par mois, je prends aussi un petit moment pour revoir mes outils, simplifier une étape ou corriger une friction.
C’est rarement parfait, mais chaque ajustement allège le système et m’aide à avancer plus sereinement. Et pour tout dire, ça fait une grosse différence.
Créer ton propre système, c’est comme dessiner ta carte pour mieux naviguer ta charge mentale. Ça prend un peu de temps au départ, mais après, tu avances avec fluidité et confiance.
Tu peux retrouver ton focus. Et ressentir à nouveau ce sentiment gratifiant d’avoir vraiment avancé dans ta journée. Et ressentir à nouveau ce sentiment gratifiant d’avoir vraiment avancé dans ta journée.
🧭 Ce que j'aurais aimé savoir plus tôt
Si j’avais su tout cela plus tôt, j’aurais arrêté de croire que mon manque de productivité était une question de volonté ou de capacité. En réalité, c’était surtout une question de structure, d’énergie mal canalisée et d’un manque d’outils adaptés à ma réalité.
Avec le temps, j’ai compris que la productivité ne se trouve pas dans la performance, mais dans la clarté. Pas dans la quantité de choses faites, mais dans le sens qu’on donne à ce qu’on fait. Et surtout, qu’on peut changer les choses, pas à pas.
Alors si tu te reconnais dans ce que j’ai partagé ici, sache que tu n’es pas seul. Tu peux, toi aussi, rebâtir ton quotidien pour qu’il devienne plus fluide, plus simple, plus humain.
🔚 Sortir de la dilution, un pas à la fois
🌀 En résumé, l’effet de dilution agit comme un brouillard insidieux qui s’infiltre partout : dans nos journées trop remplies, nos priorités floues, nos outils mal adaptés et notre mental trop sollicité. Ce n’est pas une fatalité, mais un signal. Un signal qu’il est temps de réajuster notre manière de fonctionner.
Chaque stratégie partagée ici — planifier avec souplesse, mieux prioriser, protéger ta concentration, centraliser l’information et créer un système à ton image — est une façon concrète de contrer cette dilution. Ce sont des bouées de sauvetage dans une mer de distractions et de sollicitations constantes.
🌱 L’effet de dilution se nourrit du flou. Mais à chaque fois que tu clarifies ton intention, que tu protèges ton focus ou que tu simplifies un processus, tu gagnes en clarté, en énergie, en impact.
Pas besoin d’être parfait. Commence petit. Ajuste souvent. Et rappelle-toi : ce n’est pas en en faisant plus que tu vas sortir de la dilution, c’est en faisant mieux, avec plus de sens. Et un jour, tu regarderas en arrière en te disant : “Pourquoi j’ai attendu aussi longtemps ?”
🚀 Besoin d’un coup de pouce ?
Sur levapro.ca, je partage des documents pratiques et des astuces que j’utilise moi-même pour retrouver du focus et alléger mes journées. En ce moment, je travaille sur deux projets importants :
- Une formation pour t’aider à reprendre le contrôle sur ta productivité et à utiliser les outils numériques de manière efficace (et pas à s’encombrer davantage !)
- Ajouter de nouveaux documents dans la « Biblio Productive », pour t’aider à passer à l’action, à ton rythme.
- Un livre sur la productivité, inspiré de mon expérience et de toutes les stratégies que j’ai testées et simplifiées pour les rendre accessibles.
- Et plus encore !
Mon objectif, c’est que tu te sentes moins éparpillé, plus aligné, et beaucoup moins stressé dans ta façon de travailler.
Parce qu’être productif, ça ne veut pas dire en faire plus. Ça veut dire en faire mieux. Et surtout, retrouver du contrôle.
TU PEUX M’ENVOYER TES SUGGESTIONS : UN TYPE DE DOCUMENT QUE TU AIMERAIS RETROUVER DANS LA BIBLIO PRODUCTIVE, UN OUTIL QUE TU AIMERAIS MIEUX COMPRENDRE OU UN IRRITANT QUE TU AIMERAIS ENFIN SIMPLIFIER. J’ADORE CRÉER DU CONTENU UTILE, CONCRET — ET ADAPTÉ À LA VRAIE VIE.
✅ Tu veux commencer par où ? Viens faire un tour sur le blogue , mes réseaux sociaux, ou écris-moi pour qu’on trouve ensemble ce qui pourrait vraiment t’aider. info@levapro.ca
Pour les références utilisées dans cet article
Laissez un commentaire !
Qui suis-je ?
Je suis une passionnée de lecture et de formation continue ! J’ai développé des stratégies efficaces pour être productive, autant dans ma vie professionnelle que personnelle.
Je suis également technicienne en gestion documentaire. Si vous avez besoin d’aide pour organiser votre vie professionnelle, je suis là pour vous aider !
Alors, prêt à vous lancer dans l’aventure de la productivité ?
Articles récents
Accès illimités à la bibliothèque des ressources productives
BIBLIOTHÈQUE de documents productifs GRATUIT
Ils pourront t’aider à devenir plus productif,
dans ton travail quotidien !