Sommaire
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- Pourquoi tu travailles fort… sans jamais avoir l’impression d’avancer
- 1. Pourquoi tu confonds souvent « activité » et « progrès »
- 2. Pourquoi tu termines épuisé, mais pas satisfait
- 3. Pourquoi tu repousses sans t’en rendre compte
- 4. Pourquoi tu as besoin d’un cadre pour avancer (pas d’un effort de plus)
- 🌬️ Tu as le droit de ralentir pour mieux avancer
- Extrait du Workbook
- FAQ — 🧠 Pourquoi tu bosses fort… sans jamais te sentir avancé
- 📚 La Biblio Productive – Ton raccourci vers un quotidien plus fluide (et moins chargé) Inscription
- 🔐 Ton Mini QG ~ Trousse Anti-Débordement par LEVAPro
- 🔐 Ton QG — La trousse anti-débordement à télécharger par LEVAPro
Entreprenariat
🎯SÉRIE ENTREPRENEUR #1.2 — 🧠 Pourquoi tu bosses fort… sans jamais te sentir avancé
Pourquoi tu travailles fort… sans jamais avoir l’impression d’avancer
Pour partager
Tu coches des cases, mais ton cerveau crie : « On n’avance pas. »
Tu travailles fort, mais tu ressens ce flou persistant, ce décalage entre ton énergie investie et ton vrai progrès. Tu termines tes journées vidé, mais pas accomplies. Tu avances dans mille directions, mais pas dans celle qui compte. Et ce sentiment-là, je le connais trop bien.
Dans cet article, je t’emmène explorer ce qui se cache derrière cette impression de ne pas avancer — même quand tu travailles sans relâche. Parce que ce n’est pas ton niveau d’effort qu’il faut remettre en question. C’est le cadre qui t’entoure, la clarté qui te manque, et l’espace mental pour revenir à ce qui est vraiment important.
Moi aussi, j’ai vécu ça. Je me souviens d’une journée où j’avais passé des heures à gérer des petits ajustements dans mes outils, à répondre à des messages, à organiser des fichiers… J’avais l’impression d’avoir été occupée non-stop. Et pourtant, le soir venu, j’avais ce vide : je n’avais pas avancé sur ce qui comptait vraiment pour moi. C’était comme si j’avais couru partout sans jamais mettre un pied dans la bonne direction.
✔ Pas de vraie avancée.
✔ Pas de satisfaction.
🢧 Juste un trop-plein d’actions… sans direction claire.
Tu peux avoir coché 12 items sur ta liste de tâches, et, malgré tout, sentir que tu stagnes. Pourquoi ? Parce que tout ce que tu fais n’est pas toujours ce qui te fait vraiment progresser.
Et c’est exactement ce qu’on va explorer ensemble.
1. Pourquoi tu confonds souvent « activité » et « progrès »
Contexte
Il y a quelque chose de sournois dans notre façon de gérer nos journées. On a l’impression qu’en cochant des tâches, on avance. Que chaque petit item rayé nous rapproche de notre but. Et c’est vrai… en partie.
Mais ton cerveau, lui, adore ça. Il aime la dopamine du « fini ». Il t’encourage à chercher cette mini-satisfaction, même si la tâche accomplie est loin de ta vraie priorité.
🢧 Résultat : tu peux te retrouver à enchaîner des actions sans impact, juste pour ressentir cette illusion de productivité.
Et c’est comme ça qu’on se perd dans une activité intense… qui nous éloigne du progrès réel.
🔥 Scénario 1 : Une journée bien remplie, mais rien de marquant
Tu ouvres ton ordi avec une intention claire : avancer sur ton projet de formation, revoir une page importante ou planifier ta semaine. Mais, dès que tu lances ton outil, les messages commencent à arriver. Tu réponds, tu ajustes un visuel, tu retrouves un fichier égaré… et déjà, deux heures sont passées.
Ensuite, tu passes à l’entretien courant : rangement, petites retouches, un bref coup de fil, une relance par courriel. Tu es en mouvement, sans arrêt. Et pourtant, le soir venu, tu n’as pas touché à ce qui comptait vraiment pour toi.
Ce n’est pas un manque de volonté. C’est un engrenage subtil où les petites actions prennent toute la place — parce qu’elles sont visibles, rassurantes, maîtrisables. Mais elles ne remplacent pas ton essentiel.
💡 Ce que tu peux essayer :
✔ Note ta vraie priorité avant de commencer ta journée.
🢧 Par exemple : aujourd’hui, ta priorité pourrait être d’écrire l’introduction de ta prochaine infolettre, et non de traiter tes courriels ou ajuster des détails visuels — même si ces actions semblent plus faciles ou urgentes.
✔ Utilise deux listes distinctes : « Tâches de soutien » et « Tâches de progression ».
🢧 Par exemple, dans ma liste de soutien, je vais retrouver « répondre aux courriels », « classer les factures » ou « mettre à jour un document partagé ».
🢧 Tandis que, dans celle de progression, il y aura « écrire la page d’accueil de ma formation », « réviser un module clé » ou « préparer une capsule vidéo ».
✔ Réserve un bloc protégé (30 à 60 min) chaque jour pour avancer sur ton essentiel.
🢧 Ce moment devient ton espace sacré, sans courriels, sans notifications, pour te concentrer uniquement sur la tâche qui compte vraiment.
✅ 5 conseils concrets :
✔ Garde ta priorité du jour visible, sur un post-it ou dans ton agenda.
✔ Planifie ton essentiel avant d’ouvrir ta boîte courriel.
✔ Termine ta journée en cochant une tâche de progression, pas juste d’entretien.
✔ Utilise deux listes distinctes : « Tâches de soutien » et « Tâches de progression ».
✔ Réserve un bloc protégé (30 à 60 min) chaque jour pour avancer sur ton essentiel.
✨ Tu n’es pas paresseux ni désorganisé.
Tu es juste coincé dans un système qui récompense le mouvement… mais oublie de questionner la direction. On t’a appris à cocher des cases, à produire, à être réactif. Mais rarement à t’arrêter pour nommer ce qui compte vraiment. Et pourtant, c’est ça, le véritable point de bascule : passer du faire automatique à l’intention alignée.
Cocher des tâches, c’est facile. Opter pour la meilleure demande du cran.
— Annabelle Levasseur par LEVAPro
Ce n’est pas ton niveau d’effort qui est en cause. C’est le manque d’un repère clair, d’un espace pour respirer, réfléchir et décider ce qui mérite vraiment ton énergie. Et c’est exactement ce que tu es en train d’apprendre à reconstruire.
🧰 Et maintenant ?
Si tu veux commencer à faire ce tri dès aujourd’hui, prends une feuille (ou ta fiche express/workbook) et notes :
1. Une tâche que tu fais souvent… mais qui ne te fait pas vraiment avancer ;
2. Une action simple que tu pourrais poser pour te reconnecter à ce qui compte ;
3. Ton « essentiel » du jour, même minuscule
Voir l’extrait du Workbook, à la fin de l’article.
Ton guide concret pour mieux t’organiser, gagner du temps et réduire ta charge mentale. Des stratégies simples et des outils efficaces pour avancer sans t’épuiser.
2. Pourquoi tu termines épuisé, mais pas satisfait
Contexte
On pense souvent que plus on en fait, plus on avance. Qu’une journée bien remplie doit forcément être satisfaisante ! Et pourtant…
Il m’est arrivé de passer une journée entière à ajuster des détails sur mon site, à créer des visuels pour une publication, à faire des suivis techniques… et, en fin de journée, j’étais épuisée, mais pas du tout nourrie intérieurement. Rien n’avait réellement bougé sur ce qui comptait : ma formation, ma mission, mon cœur de projet.
Combien de fois as-tu terminé ta journée complètement vidé, mais avec cette impression étrange de ne pas avoir fait ce qui compte vraiment ?
Tu n’as pas arrêté une seconde, mais tu ressors sans la petite fierté, sans ce sentiment d’accomplissement vrai.
L’effort en soi n’est pas le problème. Ce qui manque, c’est l’alignement entre ton énergie dépensée et ce que tu voulais vraiment nourrir aujourd’hui. Et ce décalage-là, il est épuisant.née.
🔥 Scénario 2 : Tu as tout donné… mais pour quoi, au juste ?
Tu as enchaîné les appels, répondu aux urgences de clients ou de collègues, ajusté des documents pour les autres… et sur papier, ta journée est pleine. Mais une fois que tout se calme, il reste ce vide. Tu n’as pas touché à ton contenu principal, à ta stratégie, à ce qui te tenait à cœur ce matin. Tu ressens une forme de lassitude que même une liste de tâches bien remplie ne compense pas.
Tu as l’impression que tout le monde avance grâce à toi… sauf toi. Que tu fasses partie du système de soutien des autres, mais que ta propre structure intérieure s’effrite. Tu termines la journée épuisé, sans cette satisfaction profonde d’avoir fait un vrai pas dans la bonne direction.
💡 Ce que tu peux essayer :
✔ Planifie d’abord ce qui t’aligne, puis ce qui est nécessaire.
🢧 Par exemple, je commence mes journées par 45 minutes réservées à l’écriture d’un futur module, avant de traiter les tâches de gestion ou les courriels qui pourraient disperser mon énergie.
✔ Commence ta journée en écrivant une intention :
🢧 « Aujourd’hui, mon objectif est de progresser dans… » Par exemple : « Aujourd’hui, je vais travailler sur l’ébauche de la structure de mon prochain article de blogue, même si ce n’est pas encore finalisé. »
✔ Termine ta journée en notant une vraie victoire — même minuscule.
🢧 C’est une façon simple de redonner du sens à ta journée, en soulignant ce qui a compté pour toi, pas juste ce qui a été terminé.
✅ 5 conseils concrets :
✔ Pose-toi cette question en début de journée : « Qu’est-ce qui va me rendre fier, ce soir ? »
✔ Garde une trace de ce que tu avances dans un carnet ou un tableau simple.
✔ Célèbre chaque micro-victoire avec une pause, une respiration, une récompense qui te fait du bien.
✔ Commence chaque journée en écrivant une intention : « Aujourd’hui, mon objectif est de progresser dans… »
✔ Termine ta journée en notant une vraie victoire — même minuscule.
✨ Ce n’est pas ton intensité qui est en jeu, c’est ton alignement.
Tu mérites de sentir que ton énergie construit quelque chose pour toi aussi. Ce que tu fais chaque jour ne devrait pas juste servir les autres ou maintenir le système en place.
Tu as le droit — et même le besoin — de nourrir ta propre vision, de te sentir fier de ce que tu crées, et d’avancer dans une direction qui a du sens pour toi. Bien que cela puisse sembler insignifiant aujourd’hui, cette action peut radicalement changer ton équilibre de demain.
🌱 Ton rappel bienveillant
🢧 Tu n’es pas là pour tout cocher. Tu es là pour construire du sens, à ton rythme.
🢧 Ralentir pour choisir, c’est parfois le geste le plus stratégique de ta journée.
« Ce n’est pas parce que tu fais beaucoup que tu fais bien. »
— Greg McKeown
3. Pourquoi tu repousses sans t’en rendre compte
Contexte
Tu sais qu’il y a quelque chose d’important à faire. Tu le sens. Mais tu n’arrives pas à t’y mettre. Pas parce que tu n’en as pas envie. Mais parce que tu ne vois pas encore clair dans ce que cette tâche implique.
Ça m’arrive souvent quand je veux travailler sur un nouveau gabarit ou structurer du contenu pour la Biblio ou le QG. Je sais que c’est important, mais la tâche me paraît tellement vaste que je ne sais même pas par quel bout commencer.
Alors, sans même t’en rendre compte, tu fais le reste. Tu ranges, tu replies des courriels, tu règles de petites choses. Tu avances partout… sauf là où tu veux vraiment aller. À la place de clarifier un projet un peu flou, comme créer une nouvelle procédure ou structurer un document important, tu choisis des tâches rapides, concrètes, qui te donnent un résultat immédiat. Et à la fin de la journée, tu te demandes pourquoi ça n’a pas bougé. Pourquoi cette tâche est encore là, en attente, toujours floue, toujours pesante.
Ce n’est pas un manque de discipline. C’est un manque de clarté. Et ça, ça se travaille.
Et maintenant, voyons ce qui se passe quand tu repousses ce qui compte vraiment… sans même t’en rendre compte.
🔥 Scénario 3 : La tâche importante… mais floue
Tu sais que tu devrais avancer sur ce projet long, important, un peu intimidant… celui que tu gardes en tête depuis des semaines. Mais tu ne sais pas par quel bout le prendre. C’est flou, peut-être trop vaste, peut-être un peu risqué.
Alors tu fais ce que tu maîtrises : tu réponds à tes messages, tu ajustes un visuel, tu publies quelque chose de rapide. Tu restes dans le concret, le visible, le terminé. Parce que ça te rassure. Parce que ça te donne l’impression de rester en mouvement.
Mais au fond, tu sais. Tu sais que tu viens encore d’éviter l’essentiel. Pas par paresse. Par protection. Parce que ton cerveau cherche à te garder dans ce qui est clair, simple, balisé. Et c’est normal. Mais à force, la frustration s’installe : celle de ne pas avancer là où ça compte vraiment.
💡 Ce que tu peux essayer :
✔ Reformule ta tâche floue en micro-étapes concrètes.
🢧 Par exemple, au lieu d’écrire « préparer ma formation », note « choisir un titre », « définir les 3 premiers modules » ou « créer le visuel de la page d’accueil ».
✔ Commence par 10 minutes d’exploration (et pas d’exécution).
🢧 Par exemple, ouvre ton document de travail, prends des notes spontanées, surligne des idées dans un brouillon — sans pression de finaliser quoi que ce soit.
✔ Identifie le blocage :
🢧 C’est souvent un manque de clarté, pas de compétence. Parfois, ce simple exercice de mettre des mots sur ce qui n’est pas encore clair suffit à débloquer l’élan.
✅ 5 conseils concrets :
🢧 Utilise un chronomètre pour travailler pendant 10 minutes, sans te sentir obligé, juste pour débroussailler.
🢧 Crée un espace « En attente de clarification » pour éviter de laisser l’ambiguïté planer sur ta liste de tâches.
🢧 Nomme ce que tu ne sais pas encore, ça aide à débloquer la suite.
🢧 Commence par 10 minutes d’exploration (et pas d’exécution).
🢧 Identifie le blocage : c’est souvent un manque de clarté, pas de compétence.
✨ Tu ne fuis pas la tâche. Tu fuis l’inconnu.
Et ça se contourne, en ramenant de la clarté dans ce flou temporaire. Pas en forçant. Pas en se blâmant. Mais en posant un premier repère simple, un point de départ réaliste.
Revenir à une seule question, un seul geste, une mini-intention. Parce que souvent, ce n’est pas l’ampleur de la tâche qui bloque, mais l’absence d’une porte d’entrée claire. Et cette porte, tu peux l’ouvrir à ton rythme.
« Le plus grand obstacle à l’action, c’est la confusion. »
— James Clear
💬 Ce que tu peux te dire au lieu de « je procrastine »
🢧 « J’apprends à nommer ce qui est flou. Et c’est déjà un pas. »
4. Pourquoi tu as besoin d’un cadre pour avancer (pas d’un effort de plus)
Contexte
Quand j’ai commencé à structurer mes outils numériques, je pensais que le plus dur serait de choisir la bonne plateforme. En réalité, le vrai défi, c’était de créer un point d’entrée simple. Un cadre souple, mais solide, dans lequel je pouvais m’appuyer chaque jour sans avoir à me poser mille questions.
Ce besoin de cadre, je l’ai ressenti très fort quand j’ai commencé à bâtir la Biblio productive. Je voulais que ce soit intuitif, fluide, mais aussi rassurant pour les personnes qui y entreraient. Et je me suis rendu compte que, moi-même, j’avais besoin de cette structure pour ne pas m’éparpiller. Quand tout est ouvert dans mes outils, j’ai tendance à passer d’un dossier à l’autre, à commencer mille choses sans les finir.
C’est aussi ce que j’ai constaté dans mon propre parcours : ce n’est pas le manque d’énergie qui freine l’avancée. C’est le manque de références claires, qui permet de déterminer une action, son enchaînement et, surtout, sa justification.
On a tendance à penser que, si l’on se sent débordé, c’est qu’on ne travaille pas encore assez fort. Alors on pousse, on insiste, on ajoute des heures. Mais parfois, ce n’est pas plus d’effort qu’il faut. C’est une base.
Un repère. Un cadre simple, visuel, qui t’aide à faire le tri dans le flou. Parce que quand tout est ouvert, tout semble urgent. Et sans ancrage clair, tu risques de tourner en rond, malgré toute ta bonne volonté.
Ce qu’il te faut peut-être, ce n’est pas de forcer davantage… mais de t’appuyer sur un contenant doux, qui t’aide à orienter ton énergie vers ce qui compte vraiment.
🔥 Scénario 4 : Tu pars dans tous les sens, malgré ta bonne volonté
Tu ouvres ton ordi avec de bonnes intentions. Tu veux avancer, clarifier tes priorités, poser une action concrète. Mais dès que tu arrives dans ton espace de travail numérique, tout s’entremêle. Un onglet te mène à une autre idée, tu retrouves un document oublié, tu tombes sur une notification… et sans t’en rendre compte, tu es déjà dans 8 directions différentes.
Ce n’est pas que tu ne veux pas avancer. C’est que tout est ouvert. Tout attire ton attention. Et rien ne t’aide à revenir à l’essentiel. Tu es submergé par la charge d’informations, les rappels internes, les idées qui surgissent… et tu termines ta séance avec cette impression de n’avoir rien finalisé, malgré tous les efforts déployés.
💡 Ce que tu peux essayer :
✔ Utilise un support visuel (comme la fiche express) pour nommer ton essentiel. +
🢧 Par exemple, chaque matin, je remplis ma fiche express pour me recentrer avant d’ouvrir mes outils : une case pour ce que je ressens, une autre pour ma priorité du jour, et déjà, je respire un peu mieux.
✔ Commence ta journée par une tâche fermée (début et fin clairs).
🢧 Par exemple, rédiger une description d’un seul outil, réviser une seule page de ton site ou traiter une demande bien définie — l’idée est d’ancrer ton élan dès le départ.
✔ Répète-toi : « Je choisis ce qui compte, pas ce qui crie. »
🢧 Cette phrase, simple en apparence, te rappelle que ce n’est pas parce qu’une tâche est bruyante ou pressante qu’elle est importante.
✅ 5 conseils concrets :
✔ Ferme tous tes onglets et rouvre uniquement ce qui sert ta priorité du moment.
✔ Prépare ton environnement de travail la veille, pour t’éviter la surcharge au réveil.
✔ Affiche ta fiche express bien en vue : elle devient ton point d’ancrage.
✔ Choisis un seul onglet à garder ouvert pendant ta tâche prioritaire, pour éviter l’éparpillement.
✔ Mets une alerte visuelle (icône, post-it, fond d’écran) avec ta priorité du jour pour ne pas la perdre de vue.
✨ Tu ne manques pas de structure. Tu manques d’un appui simple, stable, bienveillant.
Et ça, tu peux le créer — un petit pas à la fois. Pas besoin de tout revoir. Pas besoin de tout réinventer. Ce qu’il te faut, c’est un point d’ancrage clair. Une petite structure, un rituel doux, une fiche sous la main. Une chose simple qui t’aide à te recentrer sur ce qui est important. Un repère que tu pourras réutiliser demain, sans t’épuiser chaque fois. Parce que c’est dans ces micro-repères que naît le vrai mouvement.
🧭 Et si tu lâches une journée ?
Aucun cadre n’a besoin d’être appliqué parfaitement. L’important, c’est de pouvoir y revenir. Ta fiche express est là pour ça : t’accueillir quand tu veux retrouver ton cap, pas pour te rappeler ce que tu « n’as pas fait ».
« L’outil n’est qu’un point de départ. C’est la clarté qu’il t’apporte qui fait toute la différence. »
— Cal Newport
🌬️ Tu as le droit de ralentir pour mieux avancer
🌱 Tu n’as pas besoin de tout changer. Tu as juste besoin d’un point de repère pour revenir à toi. Et ce repère, tu peux le créer dès aujourd’hui. Tu es une personne avec une vision, une énergie, un rythme unique. Et ce rythme mérite d’être respecté.
Si tu as l’impression que tu bosses fort, mais que tu n’avances pas… ce n’est pas une question de volonté. C’est peut-être juste que tu n’as pas encore le bon cadre. Un cadre léger. Qui t’aide à distinguer l’urgent du vrai. Le mouvement de l’élan. L’agitation de la progression.
Moi aussi, j’ai connu ces journées où tout est flou, où je m’éparpille même avec les meilleures intentions. Ce genre de moment où tu fais beaucoup… sans toucher à ce qui compte vraiment.
🢧 C’est exactement pour ça que j’ai créé la Biblio productive, le QG, et cette fiche toute simple : pour t’offrir un endroit où revenir quand le brouillard s’installe.
Pas pour performer. Juste pour retrouver ton cap.
Et si tu commençais par-là, aujourd’hui ?
📥 Elle est disponible dans le Mini QG et le QG LEVAPro, pour t’aider à poser tes prochaines actions avec clarté.
💬 Ce que tu peux te dire (au lieu de « je perds mon temps »)
« Je prends le temps de m’aligner. Et c’est ça, avancer. »
« J’ai le droit de ralentir pour mieux choisir. »
« Ce n’est pas parce que je fais moins que je vaux moins. »
« Mon énergie est précieuse. Je peux la diriger autrement. »
« Je peux créer de la clarté, un petit pas à la fois. »
« Faire de l’espace aujourd’hui, c’est investir dans demain. »
« J’avance à mon rythme, pas à celui de l’agitation. »
« Même une pause fait partie du mouvement. »
« Je suis capable de choisir ce qui compte pour moi. »
« Mon essentiel mérite sa place, même dans une journée imparfaite. » « Je prends le temps de m’aligner. Et c’est ça, avancer. »
💡 La leçon à retenir
Travailler fort ne t’amènera pas forcément plus loin.
Ce qui fait réellement la différence, c’est ta capacité à prioriser, à simplifier et à créer un système qui te soutient plutôt que de t’épuiser.
🢧 Quand tu apprends à faire moins, mais mieux, tu récupères ton énergie, ta clarté et ton pouvoir de décision.
🢧 Ce n’est pas en remplissant ta journée que tu avances, mais en t’assurant que chaque action te rapproche de ce qui compte vraiment.
🌿 Travailler efficacement, c’est apprendre à respirer dans ton quotidien — pas à survivre à ta to-do list.
Extrait du Workbook
FAQ — 🧠 Pourquoi tu bosses fort… sans jamais te sentir avancé
Repère si ce que tu fais change réellement quelque chose pour toi cette semaine. Si la réponse est non, c’est probablement de l’entretien.
Un geste qui rapproche d’un résultat significatif (même petit) : écrire l’intro d’un article, clarifier une décision, avancer un module.
Parce que l’énergie part dans des actions visibles mais peu alignées. L’alignement compte plus que la quantité.
Réserve 30–60 minutes, notifications coupées, avec une tâche prioritaire nommée à l’avance. Il peut rester vide si besoin : c’est un espace de respiration “au cas où”.
La découper en micro-étapes concrètes (ouvrir le doc, écrire 3 sous-titres, poser 1 question clé).
Elle crée un point d’ancrage visuel rapide pour choisir une priorité réelle, alléger la tête et relancer l’élan.
La Fiche Express t’aide à agir vite : un format court, concret et axé sur l’action immédiate.
Le Workbook, lui, va plus loin : c’est un guide complet pour comprendre, structurer et ancrer de vraies habitudes d’efficacité.
En bref : la Fiche Express te fait passer à l’action, le Workbook transforme ta façon de travailler.
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Si tu veux parfaire tes connaissances...
Source(s) externe(s)
Gestion du temps, clarté et surcharge mentale
Institut national de santé publique du Québec. (2022, avril). Pratiques de gestion favorisant la santé mentale au travail : Comment favoriser l’équilibre de la charge de travail ? Montréal : INSPQ.
Résumé : Ce guide présente des stratégies pour équilibrer la charge de travail en tenant compte non seulement de la quantité prescrite mais de la charge ressentie, avec des mesures concrètes visant la clarification des rôles, la priorisation et la gestion des imprévus afin de réduire la surcharge mentale.
Institut national de santé publique du Québec. (2025, 17 février). Étude menée auprès du personnel scolaire du Québec sur l’état de santé mentale et l’exposition aux risques psychosociaux du travail. Montréal : INSPQ.
Résumé : Cette étude identifie la surcharge cognitive et le faible contrôle sur les tâches comme facteurs principaux d'épuisement et de stagnation, soulignant la nécessité d’un cadre clair pour préserver la santé mentale.
Ordre des conseillers en ressources humaines agréés. (2023, 5 décembre). Santé mentale des membres de leur personnel : de nouveaux outils à l’intention des gestionnaires. Montréal : CRHA.
Résumé : La trousse développée par le CRHA soutient les gestionnaires dans la prévention du surmenage, mettant l’accent sur une gestion équilibrée de la charge de travail, la reconnaissance et des pratiques organisationnelles bienveillantes.
Qualité de vie et cadre structurant
Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et sécurité du travail. (2023). Travail et intelligence artificielle : État de la question. Montréal : IRSST/PhareSST.
Résumé : Cette publication met en lumière la fragmentation de l’attention causée par les multiples sollicitations numériques, entraînant une surcharge mentale continue qui ne correspond pas toujours à un réel progrès.
Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale. (2020). Favoriser le mieux-être : guide d’implantation d’un programme de qualité de vie au travail. Québec : Gouvernement du Québec.
Résumé : Ce guide propose une approche intégrée fondée sur les pratiques de gestion, la culture organisationnelle et le respect des rythmes humains pour soutenir un mieux-être durable au travail.
Université du Québec à Montréal. (2020). Santé globale et qualité de vie au travail. Montréal : UQAM.
Résumé : Le rapport insiste sur l’importance des repères organisationnels clairs et d’une flexibilité structurelle pour diminuer la surcharge mentale et améliorer la cohérence dans les environnements complexes.
Psychologie positive et sens au travail
Mandeville, L., & Veilleux, M. (2017). Le bonheur des gens heureux : psychologie positive et sens au travail. Revue québécoise de psychologie, 38(1), 103-128.
Résumé : Cet article explore comment les micro-actions conscientes, le recentrage sur le sens personnel et la pleine conscience renforcent la motivation et la santé psychologique, soulignant que ralentir pour mieux choisir permet une progression plus alignée et durable.
Pour les références utilisées dans cet article
Source
💬 Ce que je partage ici vient de mon propre vécu, de mes essais-erreurs, de ce que j’ai ressenti (souvent fort) en cherchant un rythme qui me ressemble. C’est ce chemin qui m’a menée à créer LEVAPro : un espace d’outils doux et concrets pour t’aider, toi aussi, à retrouver ton souffle et à avancer, à ton rythme. – Annabelle Levasseur
Sources Externes
RBC – Devenir entrepreneur, un nouveau mode de vie
RBC Banque Royale. (2025, 30 janvier). Tournant : Devenir entrepreneur, un nouveau mode de vie. Toronto : RBC.
Résumé :
Cet article présente plusieurs petits entrepreneurs canadiens ayant choisi de créer leur propre entreprise pour retrouver un équilibre personnel et professionnel. Les témoignages de Jonathan Wilts (Pegasus Biotech, Î.-P.-É.), Bev Betteridge (The Corner Office, Regina) et Lucy Salinas (The Wholeness Warriors) illustrent la recherche d’un rythme de travail humain et d’un sens personnel, en phase avec la vision de la “productivité douce” défendue dans ton article. L’entrepreneuriat y est décrit comme une quête de liberté, de stabilité et d’alignement intérieur.
The UPS Store Canada – Atteindre l’équilibre travail-vie privée quand on dirige une petite entreprise
The UPS Store Canada. (2024, 17 septembre). Atteindre l’équilibre travail-vie privée quand on dirige une petite entreprise. Toronto : The UPS Store Canada.
Résumé :
Cette publication explique les défis spécifiques des propriétaires de petites entreprises canadiennes en matière de charge mentale et de santé psychologique. Basée sur les données de la BDC (Banque de développement du Canada), elle montre que 54% des entrepreneurs estiment que le manque d’équilibre entre vie personnelle et travail constitue une source importante de stress. L’article propose des solutions concrètes : prioriser les pauses, clarifier les limites, déléguer, et adopter une structure flexible. Une ressource très complémentaire à ton approche du cadre simple et ressourçant.
BDC & ACSM – Y arriver seuls : la santé mentale et le bien-être des entrepreneurs au Canada
Banque de développement du Canada & Association canadienne pour la santé mentale. (2021, juillet). Y arriver seuls : la santé mentale et le bien-être des entrepreneurs au Canada. Ottawa : BDC/ACSM.
Résumé :
Cette étude collaborative, menée auprès de plus de 1 500 entrepreneurs, révèle l’impact direct de la fatigue psychologique, du stress chronique et du manque de clarté sur la performance des dirigeants. Plus de 66% des répondants déclarent avoir du mal à maintenir un équilibre travail-vie, et 46% affirment que cette surcharge nuit à leur efficacité. Le rapport souligne la nécessité de repères clairs et de pratiques de recentrage, rejoignant directement les fondements de ton article sur le cadre humain et intentionnel.
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Qui suis-je ?
Je suis une passionnée de lecture et de formation continue ! J’ai développé des stratégies efficaces pour être productive, autant dans ma vie professionnelle que personnelle.
Je suis également technicienne en gestion documentaire. Si vous avez besoin d’aide pour organiser votre vie professionnelle, je suis là pour vous aider !
Alors, prêt à vous lancer dans l’aventure de la productivité ?
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Annabelle Levasseur, pour LEVAPro
Je suis Annabelle Levasseur, fondatrice de LEVAPro 🧰, un espace conçu pour aider les travailleurs débordés à retrouver du calme 🧘♀️, de la structure 📋 et du souffle 🌬️ dans leur quotidien. 👩💼 Technicienne en gestion documentaire de formation, j’ai dû réinventer ma façon de travailler après un diagnostic d’invalidité 🩺. Ce tournant m’a poussée à créer des outils concrets 🛠️, des méthodes accessibles 🔑 et des stratégies anti-débordement 🧯 adaptées à la vraie vie. Aujourd’hui, j’accompagne les salariés et professionnels à mieux gérer leurs tâches ✅, leur énergie 🔋 et leurs outils numériques 💻, avec une approche ancrée dans le réel 🌱 et profondément humaine ❤️, où productivité rime avec bienveillance 🤝.

