Dictée vocale
Puisque avant tout, je suis une fille à trucs, j’ai bien réfléchi et il fallait que je trouve un moyen de pouvoir continuer à écrire, mais sans trop me torturer. J’ai donc compris que je devais dicter mes pensées.
Auparavant, j’avais essayé la saisie vocale, dans plusieurs applications, mais je trouvais que cela ne fonctionnait pas très bien. Alors, j’ai laissé tomber… Toutefois, il y a une semaine environ, j’ai décidé d’essayer la saisie vocale, avec Google Docs. Je sais, la saisie vocale de Google Docs n’est pas parfaite, en revanche, elle fonctionne assez bien, pour me rendre de fiers services.
Ainsi, au moment d’écrire ces lignes, je suis en train de dicter ce texte à Google Docs, via mon téléphone cellulaire. Par la suite, je n’aurai plus qu’à remettre un peu d’ordre, dans mon texte, et de passer celui-ci, dans un logiciel de correction.
Calepin en papier… J'adore!
Il est manifeste que j’ai toujours un petit calepin, près de moi. Alors, mes idées sont sauvegardées dans celui-ci, même si quelques fois, c’est un peu pêlemêle… Toutefois, je suis toujours en mesure de mettre par écrit mes nombreuses idées. On va se le dire, j’ai beaucoup d’idées, en attente, donc beaucoup de calepins, qui traînent, ici et là.
Plusieurs idées en tête
Nonobstant, pour le moment, je me concentre, sur des compositions qui favorisent comment travailler avec la douleur, pour aider d’autres personnes que moi.
Par la suite, je vais surement rédiger sur d’autres sujets, mais je garde en tête, que je veux finir d’écrire le livre que j’ai commencé.
Celui-ci encourage l’ergonomie de son poste de travail et également du comment on utilise, de façon optimale, son ordinateur.
Ainsi, tout comme ces écrits, je vais dicter vocalement mes idées et je serai en mesure de le terminer le plus rapidement possible.
Postérieurement, je vais surement écrire encore bien longtemps, néanmoins je ne me mets aucune pression… ce sera fait lorsque je le ferai.
Liste non exhaustive, des douleurs qui peuvent être chroniques… des troubles musculosquelettiques (TMS)
- Arthrite
- Arthrose
- Bursite
- Canal carpien
- Douleur musculaire
- Entorse lombaire
- Épicondylite
- Fibromyalgie
- Hernie
- Lombalgie sévère
- Névralgie cervico-rachiale (sciatique du cou ou du bras)
- Polyarthrite rhumatoïde
- Raideur articulaire
- Syndrome du tunnel carpien
- Tendinite
- Tour de rein
- Etc.
Signes (Symptômes) d’un trouble musculosquelettique, selon la CNESST
- Douleur à une articulation (en mouvement et au repos)
- Inconfort à une articulation
- Raideur articulaire
- Fatigue localisée (diminution de l’endurance et de la force musculaire)
- Diminution de l’amplitude des mouvements, allant jusqu’à l’impossibilité de bouger
- Enflure
- Engourdissements
- Augmentation de la sensibilité
Quand la douleur s’impose à vous
La douleur chronique est une souffrance qui est persistante et elle a le chic de compromettre notre bien-être. En conséquence, ce qui en souffre le plus, c’est notre qualité de vie, aussi bien personnelle que professionnelle. Il n’est surtout pas toujours facile de vivre avec de grandes douleurs, qui semblent ne jamais prendre de vacances, mais on doit quand même faire avec.
Or, elle peut toucher tout le monde, même les plus jeunes. Il faut aussi savoir qu’une douleur chronique ne dure pas que quelques minutes, quelques heures ou même quelques jours… C’est une douleur constante, qui peut être très persévérante, et elle dure habituellement plus de six mois, parfois même très longtemps.
Une tâche simple pour un peut être un calvaire pour un autre, mais on n’a pas toujours d’autres options que de s’en contenter. De ce fait, il faut quand même aller travailler, pour gagner sa vie, car on ne peut pas se permettre de tout laisser tomber, sur un coup de tête. En revanche, on peut toujours trouver le moyen de vivre avec, et ce, de manière positive.
Qui va s’en rendre compte
On ne va pas se mentir, soit on sait, soit on ne sait pas que notre collègue souffre de douleurs chroniques. Car c’est un choix de le partager ou pas, et souvent, les gens se sentent honteux de le dire ou de le faire savoir, il faut donc respecter leurs choix.
Même nos collègues proches ne peuvent pas toujours se douter que nous en souffrons en silence, puisqu’il est difficile de le remarquer, lorsqu’on n’en parle pas.
Pour ma part, j’ai fait le choix de partager ma souffrance, parce que j’ai des collègues fantastiques et que mon employeur est là pour me soutenir dans cette épreuve, avec le support qu’il offre à ses employés.
Alors, demander de l’aide est la plupart du temps bénéfique, car pour moi, cela a bien fonctionné. Néanmoins, tous n’ont pas la même chance, en conséquence, ils doivent trouver la façon de vivre avec leurs douleurs incessantes.
Qui dit douleur dit aussi absentéisme
La douleur chronique peut engendrer un fort taux d’absentéisme au travail ou même une diminution du nombre d’heures travaillées.
En effet, il n’est pas toujours aisé de réaliser nos tâches lorsqu’on a de violentes crises qui nous font sentir une souffrance hors du commun.
Bref, les conséquences peuvent devenir un fardeau, surtout si nous devons travailler de nombreuses heures derrière notre ordinateur.
Par conséquent, lorsque vous devez vous absenter ou travailler quand même, quand vous souffrez de douleurs, votre rendement sera grandement affecté. Il vous sera donc difficile de demeurer productif avec cet inconfort constant. De ce fait, si vous ne prenez aucune mesure, vous risquez de vous épuiser physiquement et mentalement.
Pour ma part, je mise sur l’ergonomie de mon poste de travail et pour le moment, je fais des étirements. Par contre, je suis aussi à la recherche de nouveaux trucs, pour ne pas trop souffrir, pour qui, j’espère, pourront aussi vous aider à travailler dans la souffrance.
Quand la douleur nous empêche de travailler
Une des principales causes d’absence des employés est la douleur chronique. Ceux-ci prendront davantage de congés et ils seront aussi plus susceptibles d’arriver en retard ou de partir plus tôt.
En effet, il peut devenir difficile, voire impossible, de demeurer productif, lorsqu’une crise de douleur survient. Et il demeure très fortement suggéré de connaître de bonnes stratégies de travail pour pallier la difficulté de travailler durant de longues heures.
De ce fait, tous les jours, nous devons assumer un inconfort constant, une fatigue accrue et supporter des douleurs que d’autres jugeraient être la fin du monde.
Par conséquence, surviendra l’épuisement mental et physique, et donc un stress psychologique.
Enfin, personne n’aime travailler avec des douleurs, en revanche, on n’a pas l’option de manquer le travail. J’ai dû prendre près d’un mois de vacances pour essayer de respirer un peu, mais mes douleurs sont tellement persistantes, que je dois seulement m’y faire…
On verra lors de mon rendez-vous avec un rhumatologue, pour trouver une stratégie un peu plus efficace. Car je déteste prendre des opioïdes… J’essaierai de vous tenir au courant, suite à l’évolution de mes douleurs, lors de mes articles futurs.
Et vous ?
Alors, qui d’entre vous n’ont pas déjà travaillé en présence de douleurs. Il vient un jour où l’on se blesse et l’on n’a pas vraiment le choix de travailler quand même.
D’ailleurs, il est important de comprendre que, même si je cible ceux qui ont des douleurs chroniques, l’information que je véhicule est bonne pour tout le monde. Ainsi, elle peut tout à fait aider ceux qui ont des douleurs depuis peu.
Pour finir, faites-moi part de vos anecdotes, pour m’aider à vous aider, en recherchant l’information pour vous. Néanmoins, prenez note que je n’ai aucune compétence, dans le domaine médical et que je ne suis là que pour vous donner des astuces, à savoir, pour améliorer votre productivité au travail.
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